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Dernière modification :
24 juin 2004

 

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ResistanceS  Culturelle
Mise à jour : 24 juin 2004

 

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L’informatique pour les militants

http://www.intergalactique.lautre.net/article.php3?id_article=336

Une introduction à l’informatique militante / Usage militant des moyens informatiques est le guide qu’il fallait pour offrir aux militant-e-s les éléments d’information sur cet outil qui révolutionne nos pratiques et réagence nos vies, une reflexion indispensable sur l’informatique "alternative" au quotidien.

Matériel, logiciel, logiciels libres, protection de la vie privée, fournisseurs d’accès, hébergeurs, histoire et présent de l’informatique militante, introduction théorique sur la protection de la « propriété intellectuelle » et intérêt général, liberté d’expression et responsabilités en sont les principaux chapitres.

Conformément à l’esprit de l’informatique libre, c’est bien sûr un document évolutif auquel chacun peut contribuer.

Voici quelques extraits de l’introduction pour mieux mordre l’esprit :

"Les réseaux politiques militants utilisent l’informatique de manière quotidienne et cet usage est en augmentation, en particulier au travers d’Internet. Cependant, l’usage d’un outil n’est jamais neutre ni sans danger. Ce document se veut un récapitulatif large et aussi exhaustif que possible des aspects militant de l’informatique et de son usage, qu’il s’agisse de combattre les multinationales du logiciel ou de veiller à la sécurité des données sensibles. "

"Le document a pour but de couvrir au plus large tous les enjeux liés à l’usage de l’informatique et d’Internet pour les citoyens/nes et plus particulièrement les militantes associatifs ou politiques. Nous souhaitons sensibiliser les associations, collectifs et personnes utilisant des moyens informatiques dans un cadre militant à la nature politique des outils qu’elles utilisent ainsi que de leur donner quelques notions générales sur la protection de la vie privée en ligne, la sécurité informatique et la cryptographie.

"Nos partis pris sont, autant que possible, ceux de l’anticapitalisme, et par voie de conséquence des solutions libres et ouvertes contre les solutions propriétaires."

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COLLECTIF MARSEILLE K.O. A CANNES !

Pour un Festival International des luttes sociales à Cannes.

Nous vivons actuellement une accélération de la casse des conquêtes sociales. L’heure n’est pas à la résignation. Avec cynisme et arrogance, le gouvernement poursuit la mise en oeuvre du projet social du Medef. Alors qu’ils condamnent à la misère et à l’exclusion des milliers de chômeurs/euses et de retraité-e-s, pour faire accepter les conditions de travail les plus déplorables, on constate aujourd’hui, une augmentation des maladies professionnelles et des accidents du travail.

Ceux-là, qui nous proposent comme idéal une société du chacun pour soi, une société fondée sur la peur de l’autre, sur la haine de l’autre, ceux-là sont les vrais délinquants qui créent notre insécurité sociale pour la sécurité de leur profits.

Nous ne sommes pas isolés. Partout, en Europe notamment, les mêmes politiques de régression sociale sont critiquées et combattues. Aujourd’hui, la convergence de ces mobilisations pourra créer le rapport de force nécessaire pour mettre un coup d’arrêt aux politiques anti-sociales que nous subissons. Pour mettre en échec nos adversaires et pour lancer une dynamique de reconquêtes sociales et l’émergence d’une alternative, nous avons besoin d’une mobilisation de grande envergure.

C’est pourquoi, après la lutte contre la réforme des retraites et les mouvements de l’Education nationale, et suite aux réformes de l’Unédic qui ont touché les chômeurs/euses et précaires de manière tragique, et dont les travailleurs intermittent-e-s du spectacle furent le fer de lance, Le Collectif " K.O. A CANNES ! " appelle : Les chômeurs/euses, les retraité-e-s, les salarié-e-s du public et du privé, les syndicats, collectifs et associations, à des journées d’action unitaires, interprofessionnelles, à l’occasion du Festival International du Film de Cannes. (qui a lieu du 12 au23 mai)

L’aspect international de ce festival sera l’occasion d’une médiatisation mondiale du coup d’envoi du bras de fer que nous allons engager.

Et nous invitons à nous rejoindre tous les salarié-e-s et chômeurs/euses qui, en France, en Europe et ailleurs, sont touché-e-s par les ravages de cette idéologie du profit et du marché, qui est en train de mettre à bas deux siècles de conquêtes ouvrières et de droits sociaux. Nous affirmerons notre liberté de manifester, et d’agir pour la défense de nos droits, dans les rues de Cannes. Nous devrons être très nombreux/euses à faire entendre nos voix sous le feu des projecteurs de ce Festival international.

Nous devons désormais trouver les terrains où unir nos luttes, réinventer l’idée de vivre ensemble et de solidarité. Faisons de Cannes le haut-parleur planétaire et spectaculaire du réveil social.

Cette initiative sera présentée sous le nom de " K.O. à Cannes – pour la défense de la solidarité sociale et des services publics ".

  • Contre la casse de la solidarité sociale : Retraite, Unédic, Sécurité sociale,

  • Contre le chômage, la précarité et la misère, orchestrés par le patronat et le gouvernement,

  • Contre la casse et les privatisations des services publics de Santé, d’Education, de la Poste, de l’Energie, des transports publics, de la Recherche …

  • Contre l’A.G.C.S.

  • Pour une Culture pour tous, par tous.

  • Contre la criminalisation des classes populaires, des syndicalistes, des mouvements sociaux…contre les lois Sarkozy et Perben

Ce collectif initié par des intermittent-e-s du spectacle, chômeurs/euses, précaires organisé-e-s ou non affilié-e-s a pour but de prendre contact avec l’ensemble des forces militantes en France et en Europe pour faire de cette initiative un succès à la mesure des forces qui s’y engageront. Nous avons besoin de toutes les énergies, bras, contacts et initiatives disponibles. Rejoignez nous !

Nous invitons les organisations à signer cet appel et le diffuser massivement. Le collectif se réunit tous les mardis à 18h à la bourse du travail 23 bd charles nédelec 13003 marseille contact : e-mail :kawakan@no-log.org portable : 0633229008

   


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Textes

Je suis une créature par Isabelle Sorente

Je ne suis pas une femme quand je jouis. Je suis une tempête de nerf et de météorites, de cheveux dressés sur la tête, de la sueur, un ventre qui tremble, un coeur qui bat, une tête qui fantasme. Le corps n'éprouve pas le genre de la jouissance. Et les magazines ont beau nous parler de jouissances féminine et masculine, le ventre, les mains, la bouche se moquent des concepts. Bien sûr, mon ventre n'est pas celui d'un mâle. Il est amas de nerfs, clitoris, vagin, disposition propre à la femelle. Mais où se situe exactement mon sexe? Où commence t-il? À l'intérieur des cuisses ? A la plante des pieds ? Au clitoris ? Au bas ventre ? À l'arrière de la nuque ? Passe-t-elle par la colonne vertébrale, la jouissance ?? La peau, les lèvres, les cuisses, les seins, les fesses, les yeux, la parole, les oreilles, le cerveau lui sont-ils étrangers ? Quel est le genre d'un oeil ? Quelle est le genre d'une langue, d'une dent, d'une peau ? Que celui dont la jouissance ignore la vue et la peau, le gout, le toucher et l'odorat, que celui-là me dise ce qu'est le genre.

Je ne suis ni homosexuelle ni bisexuelle ni hétérosexuelle, je suis un humain sexué en interdanse avec d'autres humains, sexués. Je suis un humain sexué aimant d'autres humains sexués, et leur façon singulières de jouir et de faire jouir. Je rend grâce aux différences physique, comme à autant de témoignages amoraux de la diversité humaine.

Il n'est pas question de nier la singularité ; il est impossible de la réduire au genre. Le genre n'est qu'un travestissement qu'on prend et puis qu'on abandonne, un archétype surgi au coeur de la jouissance, qui nous traverse, nous fait jouir et nous quitte. Avant d'être remplacé par un autre. Le genre, comme les émotions, n'est qu'un élément météorologique de mon climat humain. Pour les maîtres zen, jouir de son humanité signifie ne pas se confondre avec la tristesse quand on est triste, ne pas se prendre pour la joie quand on est enthousiaste, ne pas se prendre pour Dionysos quand on est ivre. Que la femme me traverse, l'homme ou le léopard, je demeure travesti, ciel changeant. Femme est un nom de jouissance, demain il sera homme, océan ou montagne. Une main s'ouvre, l'autre griffe. Tout se déplace vite, à grandes enjambées le genre change, j'ai des chevilles de proie et des nerfs de chasseur. Je ne suis pas femme, je ne deviendrai pas homme. Je suis une créature.

La créature parfois se travestit en femme. Oui j'aime les talons aiguilles et toutes ces chaussures qu'on ne met pas pour marcher, oui je peux glousser aux bonnes blagues d'un homme, et croire que je glousse et qu'il est un garçon. Oui je sais me perdre pour demander ma route à l'inconnu qui passe, et croire que je bande pour son sens de l'orientation. Oui je veut qu'il soit macho, qu'il me frappe s'il veut quand viendra le moment. Bien sur je peux suivre les fesses dures d'un garçon, si la journée est chaude et le jean serré, et me promettre que lui, je vais le faire gueuler et qu'il serra ma femme. Bien sûr une fille peut me tordre. Surtout si elle est maquillée. Toutes les créatures le savent, le genre est fait pour jouir et jouer.

LE genre est fait pour jouir et jouer, toutes les créatures le savent depuis la cour d'école, quand nous glissions de chat aux pirates aux billes au hamster à l'instituteur, quand nous glissions de jeu en jeu de l'un à l'autre. Fille salope, fleur bleue, gourde, gamine, garçon, tordu, vicieux, macho, chat, baudet, loup prisonnier, indien, victime, et chef de bande sont quelques-uns des noms de nos travestissements.

Les créatures le savent depuis qu'elles jouent les X-men, les requins blancs et les cavaliers. C'est la métamorphose qui fait l'humain, notre ludique monstruosité, le passage jouissif d'un pôle à l'autre. Et non un pôle ou l'autre. Puis les créatures grandissent et entrent dans le genre, oubliant parfois la fluidité du jeu et les vérité multiple de l'enfance.

Mais ces vérités multiples et changeante ne cessent pourtant de ressurgir, quand je voyage, quand je marche, quand je respire suis-je une femme? Suis je une femme quand je pense, quand j'aime les mathématiques? C'est idiot. Des études ont beau parler des différence de cerveaux féminins et masculins, de lobes plus ou moins développés, je ne crois pas que ces différences, comme la différence de sexe, indiquent autre chose que ce qu'elles sont, une différence physiologique. Oui. Et ensuite? Donner un sens social au fait physique, c'est croire en la femme. Comme hier aux races. N'attendons pas un jour de plus de plus pour balayer le genre et ses superstitions.

La femme n'existe pas. Le genre n'existe pas. L'humain est au delà des genres, au delà des sexes, des races, au delà de l'ego, vivant en métamorphose. C'est dans cette fluidité, dans cette faculté de métamorphose qu'est, ou plutôt que marche, que glisse, que court, que se meut, se transforme l'humanité. Nous naissons mouvants, ne nous fixons à aucune illusion égotique, à aucun "je" économique. À aucun sexe. A aucun genre.

Nous ne naissons pas femmes, nous ne naissons pas hommes, surtout ne le devenons pas.

Tant que les femmes s'efforceront de libérer les femmes, elles demeureront esclaves Tant qu'elles s'efforceront de réhabiliter une soi-disant égalité dans la différence et des soi-disant qualité féminines, elles demeureront une humanité marquée par le genre, c'est à dire une humanité de second rang, reniant ses capacités de métamorphose. Tant que les hommes et les femmes ne poseront pas les uns sur les autres un regard recréaturant, ils ne déploieront rien de leur humanité. Le regard recréaturant voit au-delà du genre, il ne s'arrête pas au critères sociaux, psychologiques, physique, économiques. Il se moque du poids, de la taille, de la couleur de la peau, il se moque des préférences sexuelles. Aucun de ces critères n'est pertinent, aucun ne signe l'homme oui la femme.

Quand une créature rencontre une créature, il peut y avoir drague, amitié, déraillements instantanés, discussions passionnées. Ou pas. La rencontre est entière, illimitée, car entre deux créatures, "tout est possible mais rien n'est nécessaire" comme le dit Tournier dans "les météores". Rien n'est nécessaire, surtout pas d'entrer dans les cases préfabriqués de la rencontre homme femme, et sa batterie de questions réductrices. Tout est sexué entre deux créatures, pas seulement le sexe; tout danse; les fantasmes; l'esprit, le corps, la voix, tout ondoie.

Vous croyez voir une femme, mais qui est derrière la femme? Qui est derrière les yeux d'un homme? Regardez bien, posez vous les question. Commencez des demain avec cotre voisine, avec l'inconnu qui s'assiéra en face de vous dans le métro. Avec vous- même. Commencez à regardez les créatures avec vos yeux de créatures.

Vous verrez. Les magies singulières dansent. Au delà des genres, tous dansent.

La femme n'existe pas, le genre est une arme. Une arme économique à très gros calibre. De la femme à l'homme féminisé si cher à nos observateurs de tendances, le féminin est industrie. La femme est une industrie qui va de l'Oréal à la branche diététique de Danone, traverse toute la mode...

Faites la liste vous même, elle est longue. Le genre est un outil adapté à l'économie d'échelle. La variété se limite à deux. Un homme, une femme, deux modèles de voiture, deux parfums, un supplément magazine, une seule journée par an pour le genre faible, deux profils de carrière, deux type de crème de jour, tout cela réécrit, décliné, diffusé, produit en série. Dix femmes, dix hommes, une douzaine d'enfant et quelques éléments dans une seule créature, cela serait moins gérable. Mais plus humain qui sait.

La femme est un formidable outil d'urbanisation. La vraie femme aime faire du shopping, c'est connu.

L'homme convaincu d'accepter sa féminité aussi. alors en avant pour les rues piétonnes et les galeries marchandes, les aérogare d'Heathrow ou de Hong Kong, les palais des congrès, les Disneyland. La femme n'existe pas, l'économie du féminin est florissante.

Le genre n'existe pas, il paye. Homme, femme, les rites d'initiation ne sont jamais gratuits. Des vêtements aux régimes, du club de sport à la berline, la féminité ou la crise d'identité masculine se payent et payent. Un certain schéma de consommation / production, n'est ce pas en fin de compte, le seul élément tangible de ce genre si autrement insaisissable?

Le journal féminin pour femmes, pour homme, constitue le mode d'emploi du genre, son guide de savoir vivre c'est à dire de shopping, adapté à chaque panoplie. Le journal féminin nous parle petit nègre (fabuleux je vois la vie en rose! vite un antiride!), mais comme c'est justement un journal pour nègres, personne n'y trouve de racisme; belle logique, belle opération. En tant que créature, je ne me sens pas concernée. Si je l'étais, que l'on s'adresse à moi comme à une gourde, qu'on réduise mon humanité à un poids et un horoscope me réduirait au désespoir ou au fou rire. À dire vrai, j'alterne l'un et l'autre les mois pairs et impairs.

Mais enfin, je penche pour le rire, j'espère qu'un jour nos enfants riront de notre obscurantisme. Alors oui, gardez vos articles beauté, gardez les comme des textes collectors qui feront rire les jeunes générations comme les dictionnaires de 1870, quand on regarde nègre, à juif ou à allemand, gardez les rubrique forme comme autant d'autant d'authentiques "ya bon banania!" que les adolescents colleront dans leur exposés sur le ridicule des vieilles superstitions. Ce ridicule hélas à tué plus d'une fois.

Alors pitié, un peu moins de femme, un peu plus de métamorphose! Dès à présent, devenons créatures.

Vite, avant que le genre tue l'humain.

Message paru sur la liste ATSX 

   


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ANALYSE CRITIQUE DES MÉDIAS

Médias et mouvements sociaux

5 fichiers MP3

Conférence débat organisée dans le cadre du deuxième Forum social européen, et proposée par Le Monde Diplomatique, Acrimed, Megaship, IPS Interpress service, Observatoire français des médias, SNJ-G10 Solidaires, L'Humanité et SNJ-CGT.
 

Toutes les interventions ne sont pas encore en ligne. Cette page est en cours de réalisation. Prochaine actualisation mi-janvier 2004.

Les débats ont été enregistrés. Pour des raisons d'espace de stockage, seules les interventions de la tribune sont mises en ligne pour l'instant. Merci de votre compréhension.

Enregistrement effectué par l'association de Soutien à la production indépendante de documentaires (SPID), le jeudi 13 novembre 2003, Cinéma Pathé © (sic !) d'Ivry sur Seine. Réalisation et mise en ligne : association SPID.

Création de l'observatoire international des médias, par Bernard Cassen

Durée : 04'13''

Bernard Cassen, cofondateur de l'Observatoire international des médias, revient sur les circonstances et les raisons de sa constitution.

Fichier MP3 de 1,4 Mo [Télécharger]

La communication des mouvements sociaux, par Serge Halimi

Durée : 15'27''

Serge Halimi, journaliste au Monde Diplomatique, révèle les contradictions des stratégies de communications des mouvements sociaux.

Fichier MP3 de 5,2 Mo [Télécharger]

L'exception du journal l'Humanité, par Paule Masson

Durée : 09'15''

Paule Masson, journaliste au quotidien communiste l'Humanité, nous explique la nature de la couverture de l'actualité sociale entreprise par la rédaction de son journal.

Fichier MP3 de 3,1 Mo [Télécharger]

La couverture de l'actualité sociale, par Pierre Ganz

Durée : 14'57''

Pierre Ganz, journaliste à Radio France international (RFI) et membre du Syndicat national des journalistes (SNJ), détaille les mécanismes qui prévalent à la couverture de l'actualité sociale par les rédactions des grands médias régionaux ou nationaux.

Fichier MP3 de 5,1 Mo [Télécharger]

 

 

 

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Vendémiaire

Revue artistique et politique, est née de la volonté de citoyens pour qui "il faut s'engager dans l'écriture, mais aussi dans la vie." pour reprendre les mots de Pier Paolo Pasolini.
Cette revue sur le net est la mise en commun d'opinions, d'interventions, d'entretiens, de poèmes, de nouvelles, critiques, tout ce qui construit une revue indépendante, anticonformiste, dissidente !
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